A Goma ce dimanche 21 juillet, le basketteur du NBA a réuni les jeunes talents du ballon au panier dans la ville touristique. Pour Bismack Biyombo, il s’agit ici de leur dire de ne pas baisser les bras et de travailler sur leur rêve pour un avenir radieux.

Depuis la première fois que la star du NBA est arrivée à Goma il y a de cela quelques années, Bismack Biyombo dit avoir compris que la jeunesse de cette ville formait déjà sa famille et qu’il ne pouvait pas passer au pays sans passer par Goma. «  J’ai troué des enfants qui ont grandi et j’ai profité d’échanger avec eux et leur dire que le basket c’est ne pas seulement du sérieux mai il faut aussi en profiter  et avoir une façon de se connecté les uns les autres » dit-il en voyant les jeunes gens qu’il trouve évolués.

Pour lui, c’est une chance de se réunir et de célébrer les enfants. « On a la chance de les réunir et c’est à eux d’apprendre comment se supporter les uns les autres, comment supporter les amis et alors prendre du basket et l’utiliser dans leur famille dans la discipline », dit Bismack qui affirme avoir le plaisir de rencontrer tous ces enfants et de partager des belles choses avec eux.

Il y a à espérer pour les enfants basketteurs…

La star du NBA souhaite que les gens se concentrent plus au positif qu’aux négatifs dans leur vie pratique. « Je suis passé pour apporter plus de positif. Je vais dire aux gens de rester toujours positif car dans la carrière il y a le haut et le bas. Il faut apprendre à voir le bon pour aller de l’avant. Faut pas baisser les bras, il faut avoir le courage quelque soient les conditions de la vie », encourage  celui qui a débuté sa vie professionnel au Yémen avant de se retrouver au NBA à cause de son endurance et sa perspicacité.

Il indique qu’il faut chercher des moyens pour travailler et atteindre ses rêves : « il faut voir comment amplifier le positif et en un moment on va voir qu’il y a plus de positifs que des négatifs ».

L’homme qui a l’idée d’aider les jeunes croit qu’il est pour lui important de passer partout dans le pays et d’atteindre plus de jeunes que possible qu’il faut inspirer. « Je suis arrivé au NBA et je ne savais pas que j’y arriverais. Quand on est à l’extérieur du pays, on nous présente comme représentant du pays et de l’Afrique mais pas de Lubumbashi. Voyant les enfants qui sont en train de sourire ce qui reflète un espoir, je suis là pour les encourager, les motiver en espérant qu’un jour ils vont prendre ma place et travailler pour la nation » conclut-il à l’organisation de son 11ème camp au stadium de Kituku, qui a vu le jour grâce au financement de la fondation qui porte son nom.

Saint-Janvier Zihalirwa